La combat éolien s'intensifie ...

 

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Lettre de la Fédération Environnement Durable

lundi 11 décembre 2023 06:27
 
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Bonjour 
La volonté des promoteurs éolien d'envahir sytématiquement toutes les régions. ne fait que renforcer la résistance des associations.  
La FED confirme qu'elle n'a pas pas l'intention de lâcher un pouce de terrain suite à la loi  scélérate d'accélération des Energies Renouvelables 
 Cordialement 
J.L. Butré
 



Grand Est.
OSE logo

« Orient-Sud-Environnement » (OSE)
 Association Loi de 1901
 La Borde  10270 Fresnoy le Château

Dreal
C
ontribuez à la concertation sur le projet de cartographie régionale des zones favorables au développement de l’éolien
du 22 mars au 21 avril 2023

https://www.grand-est.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=article&id_article=21721

           Cartographie des Zones Favorables au Développement Eolien

  Projet de texte pour participation à la concertation.

Dans un département déjà très fortement saturé de parcs éoliens, l’Association Orient Sud Environnement « OSE », qui s’attache à la préservation du patrimoine paysager et de l’économie touristique aux abords du Parc Régional Naturel de la Forêt d’Orient émet un avis défavorable à la qualification « Zones favorable au Développement Eolien » du finage des communes bordant le Parc, à savoir : Fresnoy le Château, Montreuil sur Barse, Montaulin, Clérey, et Verrières.

En effet, sur un plan général, du fait de son intermittence, l’énergie éolienne nécessite un jumelage avec une énergie d’origine thermique, émettrice de CO2 et donc polluante et non écologique. La présence de mâts aux nouvelles normes de 200m à une distance de 500m des habitations est à l’origine de nuisances visuelles, sonores et magnétiques particulièrement agressives. 
Sur le plan départemental, l’Aube est  classée seconde en saturation de champs éoliens, avec plus de 400 mâts déjà implantés, et la menace de voir ce nombre doubler à court terme.Elle est de surcroît, largement auto-suffisante en énergie.

Sur le plan local, les 5 communes sont inscrites dans le projet d’extension du
Parc de la Forêt d’Orient

Elles sont incluses dans la zone RAMSAR de la région des Lacs, validée le 5 octobre 2022.
Leur territoire est un couloir de migration avicole dense et une zone de nidification d’espèces protégées comme le Milan Royal dont deux journées d’observation ont confirmé la présence en 2022. L’impact de nouvelles implantations serait catastrophique pour l’économie touristique des abords de la Forêt et du Lac d’Orient, comme pour la qualité des paysages
de la Vallée de la Seine.

Les communes de Fresnoy le Château, Verrières, Clérey disposent en outre, d’un patrimoine architectural reconnu : églises et châteaux classés ou inscrits au Monuments Historiques

C’est pourquoi les cinq Conseils Municipaux des communes concernées ont déjà exprimé leur opposition à ce projet par un vote défavorable enregistré en Préfecture.

Six réunions publiques d’information, ont été organisées avec succès au cours du 4e trimestre de 2022 et des pétitions ont circulé dans plusieurs communes, révélant une forte opposition des habitants à de nouveaux projets éoliens.

 Annexe

Tableau récapitulatif des Votes défavorables des Communes bordant le Parc Régional Naturel de la Forêt d’Orient.

Commune

Vote du Conseil Municipal

Enregistrement en Préfecture

Clérey

24 septembre 2020

29 septembre 2020

Montreuil sur Barse

9 octobre 2021

2 novembre 2021

Fresnoy le Château

1er mars 2022

11 mars 2022

Verrières

8 juin 2022

18 juin 2022

Montaulin

1er décembre 2022

08 décembre 2022

                                  Tableau récapitulatif des pétitions       

Commune

Nombre de foyers fiscaux

Nombre de signatures

Clérey

453

135

Montreuil sur Barse

123

18

Fresnoy le Château

120

140

Verrières

769

556

Montaulin

331

318


Grand -Ouest
St Nicolas de Redon


Berry:
Ids-Saint-Roch et Touchay


Ce message pour vous rappeler que l'enquête publique sur la régularisation de l'autorisation d'exploitation des 6 éoliennes sur Ids-Saint-Roch et Touchay, vous appeler à y participer, et vous suggérer quelques pistes pour motiver votre avis défavorable.

L'enquête publique est prescrite du lundi 3 avril 2023 à 9h00 au mardi 18 avril 2023 à 12h00, soit pendant 15 jours consécutifs.

Le public pourra formuler ses observations et propositions pendant toute la durée de l'enquête :

- par écrit sur le registre d’enquête ouvert à la mairie d’Ids-Saint-Roch et de Touchay aux heures habituelles d’ouverture au public,

- par voie postale à monsieur le commissaire enquêteur sur le parc éolien d’Ids-Saint Roch :

* mairie d’Ids-Saint-Roch – 1 route de Lignières 18170 Ids-Saint-Roch,

- par oral lors des permanences tenues par le commissaire enquêteur

  • en mairie d’ Ids -Saint-Roch :

- lundi 3 avril 2023, de 09h00 à 12h00

- mercredi 12 avril 2023 de 14h00 à 17h00

  • en mairie de Touchay :

- jeudi 6 avril 2023 de 14 h00 à 17h00,

- mardi 18 avril 2023 de à 9h00 à 12h00

- par voie numérique sur le registre d’enquête publique dématérialisé à l’adresse suivante :

https://www.registre-dematerialise.fr/4550

ou via l’adresse mail suivante :

https://www.registre-dematerialise.fr/4550

Pendant la durée de l'enquête, le public pourra consulter et prendre connaissance du dossier en version papier et également électronique, sur un poste informatique mis à disposition à la mairie d’Ids-Saint-Roch et de Touchay aux jours et horaires habituels d'ouverture.

Pièces du dossier d'enquête publique à consulter à l'adresse suivante :

enquete-publique-4550@registre-dematerialise.fr

Quelques mots pour expliquer la procédure, qui peut surprendre.

L'enquête porte sur la régularisation de l'autorisation qui date de février 2016. L'irrégularité, constatée par le Conseil d'Etat, était liée à l'absence d'autonomie de l'autorité environnementale chargée de donner un avis sur l'étude d'impact initiale. Le CE avait jugé cette irrégularité " régularisable".

Des compléments à l'étude d'impact ont été apportés par le promoteur, et la Mission Régionale de l'Autorité Environnementale, supposée maintenant suffisamment autonome,a émis un nouvel avis.

Quelques idées d'arguments, dont vous pouvez si vous le souhaitez vous inspirer en tout ou partie, si possible avec vos propres termes, pour éviter que vos avis ne soient considérés comme stéréotypés et non personnels.

-- Il n'avait été tenu aucun compte des résultats de l'enquête initiale. Une première remarque peut être d'espérer que cette consultation du publique ne soit pas de pure forme, un faux semblant ou simulacre, avant une régularisation décidée à l'avance.

-- Ces éoliennes n'auraient pas dû être autorisées, et si elles l'ont été, c'est en partie à cause de l'absence d'autonomie de l'autorité environnementale qui a faussé l'évaluation des impacts sur l'environnement et des nuisances de proximités.

Le fait que les éoliennes sont réalisées et tournent depuis juillet 2020 permet de constater l'importance de ces impacts.

--Les nuisances pour les riverains : les hameaux et maisons isolées sont nombreuses à proximité immédiate des machines. Le bruit, dans certaines conditions de vent, ainsi que les effets stroboscopiques (ombre mouvante des pales) sont très présents et provoquent une réelle dégradation du cadre de vie des habitants.

-- La dégradation et l'industrialisation du paysage. les vues réelles sur les éoliennes montrent à quel point les photomontages  de l'étude d'impact étaient biaisés, ce que reconnait la MRAE, et à quel point était fausse l'affirmation que les haies et arbres masqueraient les machines.

Chacun peut constater que les éoliennes se voient de très loin et d'où que l'on vienne, et ce que représente de près une machine tournante de 165m de haut.

-- le milieu bocager et riche du point de vue de la faune, avec notamment plusieurs espèces protégées d'oiseaux, de chauves-souris et de batraciens. L'étude d'impact l'avait reconnu, en minimisant l'effet destructeur du projet.

Les suivis écologiques ont confirmé cette richesse, et la réalité de la mortalité. Le fait que d'autre sites d'éoliennes soient pires ne peut justifier cette atteinte à la biodiversité. Les recommandations de la MRAE sont la preuve de l'insuffisance de l'instruction initiale du projet et la sous estimation des impacts.

-- La façon dont le chantier a été réalisé , sans respecter les prescriptions et en détruisant les haies et les fossés a accru encore la dégradation du milieu. Des mesures compensatoires ont été imposées, mais ont-elles été mises en oeuvre ?

Le comportement du promoteur pendant les travaux fait douter du respect par lui des mesures édictées pour limiter les dégâts sur la biodiversité ainsi que les nuisances (bridage pour les chauves souris et les oiseaux, ainsi que pour limiter le bruit).

-- Les zones humides. Leur étude n'a été faite qu'en 2021: un peu tard, d'autant qu'elle a révélé que 5 des 6 éoliennes se trouvaient en zone humide.

--Au total, maintenant que les éoliennes sont là, il est clair que le projet, dont les impacts avaient été minimisés,  sont manifestes et trop importants n'aurait pas été autorisé s'il avait été instruit normalement. Son éventuelle régularisation ne peut donc recevoir qu'un avis défavorable.

Merci d'avance de participer  et de transmettre à vos amis: il est important de montrer que l'opposition existe, si tordue soient les procédures.

 Philippe Rey

Président de BME


 

Normandie
Echaufour 

echauffour1

Pour information, veuillez trouver copie de la lettre que notre association adresse ce jour à Monsieur le préfet de l'Orne : laisser croire à une concertation citoyenne, créer une commission aux délibérations fictives pour finalement imposer d'autorité des décisions qui avaient déjà été prises avant? La méthode vous rappelle-t-elle quelque chose?

Bien cordialement,

Fabien Ferreri,
Président de l'association


Morvan
L'implantation de six éoliennes dans le Morvan contestée auprès du Conseil d'État

https://www.lamontagne.fr/static/bloc/ripolinage/premium/pictos/JC-premium.svg");">Article réservé aux abonnés
L’avenir du projet de parc eolien est entre les mains de la plus haute juridiction administrative française. © Frédéric Lonjon
L’association Prairie libre a sollicité le Conseil d’État suite à la décision prise par la cour administrative d’appel de Lyon autorisant l’implantation de six éoliennes,
à Bazolles, dans la Nièvre.
                                                 

Orne

Les flèches de la cathédrale de Sées enterrent le projet d'éoliennes

Parce que les éoliennes risquent « d'altérer le rôle prégnant de la cathédrale de Sées (Orne) dans le paysage », la cour d'appel annule l'autorisation d'installation.

Les éoliennes n’ont pesé lourd face à la cathédrale (©Illustration archives actu.fr)
Le Réveil Normand

La cour administrative d’appel de Nantes (Loire Atlantique) vient de donner raison aux opposants aux trois éoliennes qui devaient sortir de terre à Trémont (Orne), dans le prolongement des deux premières du parc « Trémont I », en annulant l’autorisation environnementale qui avait été délivrée en février 2020 à l’exploitant.

 

Pour rappel, la préfecture de l’Orne avait autorisé la société Initiatives et Energies Locales (IEL) à exploiter trois éoliennes de 130 mètres de haut, plus hautes que les deux premières du parc « Trémont I » exploité par Innovent.

Mais le projet s’était attiré les foudres des associations de protection du patrimoine et de l’environnement « Sauvegarde de l’environnement en Pays de Courtomer », « Belle Normandie Environnement », « La Demeure Historique » et « Les Vieilles Maisons Françaises ».

Neuf particuliers — qui vivent à TrémontGâprée ou Aunou-sur-Orne — avaient également mis en avant la « proximité avec leur domicile », la « prégnance visuelle » de ces trois éoliennes et leurs « nuisances sonores ». 

Une « concurrence visuelle » avec la cathédrale

Tous jugeaient que le rapport du commissaire-enquêteur dans ce dossier avait été « très insuffisant » et qu’il n’avait pas rendu un avis « en toute impartialité ». Ces trois éoliennes allaient aussi « porter atteinte à deux espèces de rapaces diurnes (…) dont l’état de conservation est alarmant », à savoir le Milan royal et le Busard Saint-Martin. 

Mais le « premier installateur indépendant du grand Ouest en photovoltaïque et éolien », basé à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), s’est finalement heurté à la « concurrence visuelle » de la cathédrale de Sées, classée monument historique depuis 1875.

Un paysage « offrant des vues lointaines »

Sa propre étude d’impact avait d’ailleurs décrit le site d’implantation des trois éoliennes comme « s’inscrivant dans l’unité paysagère de la Plaine de Sées », un « paysage rural à vocation agricole » qui est « légèrement vallonné » et « offrant des vues lointaines ». Il est « caractérisé par de nombreux champs et ponctués par des haies bocagères et des boisements », disait-elle.


Bourgogne- Franche-comté

Le préfet retoque un projet éolien à cause de l’aérodrome Dole-Tavaux

Le projet éolien des Rives de Saône a été rejeté par le préfet de Côte-d’Or, Franck Robine dans un arrêté publié le 29 mars à cause d’une décision de la Direction générale de l’aviation civile (Dgac). Il prévoyait d’installer six éoliennes à Montagny-lès-Seurre, Grosbois-lès-Tichey et Bousselange.
Thibault Simonnet (thibault.simonnet@lebienpublic.fr) -
Le parc éolien devait être composé de six aérogénérateurs à Montagny-lès-Seurre, Grosbois-lès-Tichey, Bousselange et de deux postes de livraison. Photo illustration LBP /Vincent LINDENEHER 

Le préfet de Côte-d’Or a dit non. Dans un arrêté préfectoral publié le 29 mars, Franck Robine a retoqué le projet éolien des Rives de Saône, qui devait être composé de six aérogénérateurs à Montagny-lès-Seurre, Grosbois-lès-Tichey, Bousselange et de deux postes de livraison. La demande d’autorisation environnementale avait été déposée par la société d’économie mixte locale (SEML), Côte-d’Or Énergie auprès des services de la Préfecture en juillet 2022. L’instruction aura pris moins d’un an pour ce projet qui devait être situé à l’est du département, près de la frontière avec le Jura.

 


Creuse 

un projet d'éoliennes mis en échec par une chauve-souris

Par France Bleu Creuse

EDF Renouvelables renonce à construire un parc éolien dans le sud-ouest de la Creuse, en raison de la présence d'une chauve-souris rare : la grande noctule.

EDF Renouvelables a renoncé à son projet d'implanter entre 25 et 30 éoliennes dans le sud-ouest de la Creuse - image d'illustration © Radio France - Catherine Grain

EDF Renouvelables ne construira pas entre 25 et 30 éoliennes dans le sud-ouest de la Creuse. Le projet était pourtant dans les cartons depuis sept ans, mais l'entreprise a renoncé parce qu'une chauve-souris a été repérée dans le secteur. La "grande noctule" est la plus grande chauve-souris d'Europe, avec une envergure de 45 centimètres et elle est protégée en France.

 


Charente-Maritime


Projets éoliens en Charente-Maritime : "Oui, c'est une forêt de mâts"

La Charente-Maritime arrive-t-elle déjà à saturation en matière de parcs éoliens ? France Bleu fait le point ce jeudi avec Stéphane Chedouteaud, maire d’Aulnay, vice-président du Conseil départemental en charge des espaces naturels sensibles et président de l’Observatoire départemental de l’éolien.

Le parc éolien de Saint-Crépin a été le premier parc ouvert en Poitou-Charentes en 2005 © Maxppp - T. DAVID

Des éoliennes contre vents et marées ! Certains secteurs comme la Saintonge ou l'Aunis sont des terrains de jeu prisés des promoteurs qui n'hésitent pas à multiplier les projets. Quitte à braquer les riverains et à batailler avec les services de l'État. Pour mesurer le poids que pèse l'éolien sur la Charente-Maritime, France Bleu La Rochelle a fait le point ce jeudi avec Stéphane Chedouteaud, maire d’Aulnay, vice-président du Conseil départemental en charge des espaces naturels sensibles et président de l’Observatoire départemental de l’éolien

 


National

Paris s'inquiète d'une relance du charbon en Allemagne

AFP

Paris a critiqué jeudi l'idée d'une éventuelle "relance de l'énergie fossile" comme le charbon en Allemagne, au moment où ce pays s'apprête à faire ses adieux définitifs au nucléaire.

"Il va de soi que la relance de l'énergie fossile pour compenser la sortie du nucléaire ne va pas dans le sens de l'action climatique que nous portons tous collectivement au niveau européen", a notamment indiqué le cabinet du ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.

"En outre, cela émet des émissions notamment sulfurées qui ont un impact au niveau européen", a-t-on notamment ajouté, en réponse à une question d'un journaliste sur l'Allemagne lors d'une présentation des enjeux climatiques d'une réunion du G7 au Japon.

Outre leur contribution au réchauffement climatique, les centrales à charbon émettent en effet du dioxyde de soufre néfaste pour la qualité de l'air.

A partir de samedi, les trois derniers réacteurs nucléaires en activité en Allemagne, qui ont fourni 6% de l'énergie produite dans le pays en 2022, vont être définitivement éteints, 21 ans après sa décision de sortir de l'atome. De l'autre côté du Rhin, en France, 62,7% de l'électricité produite était d'origine nucléaire en 2022.

"Chaque pays est responsable de ses propres choix énergétiques (...) néanmoins on partage les objectifs européens de décarbonation de l'économie", a également souligné le cabinet du ministère.

"On souhaiterait qu'il y ait un engagement commun et partagé pour des actions convergentes vers la sortie totale des énergies fossiles", a-t-on encore insisté de même source.

En Allemagne, le charbon représente encore près d'un tiers de la production électrique, en baisse structurelle sur la dernière décennie, mais avec une hausse de 8% l'an dernier pour compenser l'absence de gaz russe après la guerre en Ukraine.

Le gouvernement allemand assure que cette hausse sera temporaire et maintient son objectif de fermer toutes les centrales à charbon du pays d'ici 2038, dont un grand nombre d'ici 2030.

L'Allemagne mise sur l'éolien et le solaire pour couvrir, dès 2030, 80% des besoins en électricité du pays. Mais de nombreuses centrales électriques au gaz, également nocif pour le climat, devront également être construites pour compenser l'intermittence des renouvelables.

Depuis des mois, Paris et Berlin sont divisés sur le rôle du nucléaire dans la future réforme du marché européen de l'électricité.

bur-jmi-nal/ico/pta



La lettre des libertés

Vendredi 14 avril 2023

La transition écologique va produire du chômage

Des étudiants, présents dans les défilés contre la réforme des retraites, interrogés par le magazine Marianne, faisaient le lien entre la « casse sociale » et la « cause environnementale ». Pour eux, la réforme du Gouvernement est une « hérésie, tout comme l'immobilisme dans la lutte contre le changement climatique ». Ils ont raison de rapprocher « casse sociale » et politique écologique, mais le lien entre les deux n’est pas celui qu’ils croient. Une étude montre que « La transition écologique pourrait avoir un coût social important ».
Par Philbert Carbon
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Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable

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