Cet article confirme point par point les analyses portées depuis des mois par la FED concernant les dérives de la politique énergétique française et les conséquences explosives de la future Programmation Pluriannuelle de l'Energie (PPE3) que le gouvenement veut imposer en catimini par un simple décret .
Selon Le Point, la facture d’électricité des Français pourrait doubler d’ici 2035, et augmenter de plus de 30 % pour les entreprises. Cette flambée n’est ni accidentelle ni inévitable : elle résulte d’un choix stratégique délibéré, fondé sur une vision erronée et idéologique de la transition énergétique.
Ce que révèle Le Point, la FED l’a déjà documenté dans plusieurs de ses communiqués, notamment dans sa lettre ouverte sur la PPE3 (1). Le gouvernement s’apprête à imposer par décret une feuille de route énergétique qui engage la France sur des décennies, sans débat parlementaire, sans étude d’impact sérieuse, et sans transparence sur les coûts.
L’article confirme que :
Les prévisions de consommation ont été volontairement surévaluées (640 TWh en 2035) alors même que la consommation réelle stagne ou recule ;
Les investissements nécessaires sont gigantesques et incontrôlés : 200 milliards d’euros pour les réseaux, 100 milliards pour les subventions aux énergies renouvelables ;
Le modèle énergétique proposé sacrifie le nucléaire, stable et décarboné, au profit de l’éolien et du solaire, aléatoires et instables ;
Les appels d’offres pour l’éolien offshore reposent sur des technologies non matures, des coûts masqués et des délais intenables ;
Enfin, le système électrique devient double, complexe, fragile… et terriblement coûteux.
La FED dénonce depuis longtemps ces choix absurdes. Elle alerte sur la destruction de notre souveraineté énergétique, l’affaiblissement de notre tissu industriel, et le matraquage financier des ménages.
L’article de Le Point marque un tournant : la presse nationale confirme désormais que la PPE3 est une impasse économique et stratégique. Il est encore temps d’arrêter cette fuite en avant.
La FED appelle les parlementaires, toutes sensibilités confondues, à rejeter ce plan imposé par décret, à soutenir l’amendement Alfandari qui demande un vrai débat parlementaire et à restaurer une vraie programmation énergétique démocratique, rationnelle et pilotable.
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